Politiques pour les femmes

Engendrer l’Engagement Public, Démocratiser l’Espace Public (EEP) – aussi connu sous le nom de Politiques pour les femmes – a visé à renforcer et élargir les partenariats entre les organisations de la société civiles et les universités, afin de faire entendre les voix d’un large éventail de communautés dans une conversation publique au sujet de la situation des femmes de nos jours au Canada et les changements de politique publique nécessaires dans les décennies à venir.

Le projet Politiques pour les femmes a élaboré et testé des modèles inclusifs d’engagement du public pour mobiliser les connaissances académiques, communautaires et expérimentales nécessaires au renouvellement d’un programme de politique canadienne en matière de justice de genre.

Politiques pour les femmes s’est inspiré des stratégies vastes et novatrices d’engagement du public utilisées par la Commission royale d’enquête sur la condition de la femme qui s’est concentrée sur la consultation de base avec des groupes et des individus locaux soutenus par la recherche de fond.

Les objectifs spécifiques du projet étaient de :

1. Développer un modèle accessible d’engagement public qui mobilise les connaissances académiques, basées sur le plaidoyer, et l’expérience ;
2. Augmenter la capacité politique des organisations de la société civile concernées par les questions de justice entre les genres, ainsi que faire le lien entre leur travail et la recherche scientifique ;

Tout au long du projet, les organisations partenaires, les organisations de la société civile participantes et les universitaires ont créé un Réseau de recherche sur le genre et les politiques publiques, dans le but de relier les chercheuses universitaires et communautaires.

Vous trouverez plus d’informations sur ce projet à http://policy4women.com/

Partenariats

Politiques pour les femmes repose sur un partenariat avec trois organisations : l’Institut canadien de recherches sur les femmes (CRIAW-ICREF), l’Alliance féministe pour l’action internationale (AFAI), et le Centre de recherches féministes (CRF). Le projet a été mené par Barbara Cameron, directrice de projet, et a inclus 18 co-demandeures.